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Au coeur du labyrinthe [Brandon & Auster]

Auster Leroy
Auster Leroy


diary : Au coeur du labyrinthe [Brandon & Auster] 4cc934086ed8be8beddd39b7db93bf59
pseudo : Alan_Bird
credits : Sam Heughan I dopamine
fae house : Maison de la Comète
disposition : Remonter dans le temps pour être témoin de l'histoire
love life : Ô tristesse, Ô désespoir, séparé bien trop brutalement
rp : rythme régulier, +/- 500 mots en moyenne
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BRANDON and AUSTER
@Brandon Rose

Auster regardait la forêt de Sherdale avec un mélange de nostalgie et d’appréhension. Il y avait vécu, après tout, pendant des mois, en compagnie de Jasper. L’endroit avait été un lieu magique pendant une longue période, le témoin de son bonheur et de son amour. Aujourd’hui, Sherdale ressemblait à une inconnue. Auster avait pris la décision de renouer le dialogue, autrefois si évident, avec cette forêt qu’il aimait tant. Pour être parfaitement honnête, il devait bien admettre aussi qu’il ressentait le besoin d’être un petit peu seul : seul au milieu des bois et seul avec ses pensées. Ce n’était plus vraiment le cas, maintenant qu’il était une petite partie d’un cluster. Lui et @Stella Kahnwald apprenaient lentement mais sûrement à se connaître et Auster pouvait sans mal affirmer qu’il appréciait sa compagne d’aventure. Toutefois, il devenait évident qu’il lui fallait dire adieu à une solitude qu’il avait coup sur coup désiré puis détesté.

Il entra dans la forêt avec un soupçon d’appréhension ; cette dernière s’effaça toutefois très vite, dès qu’il se retrouva enfin seul, enfin coupé du monde. Seul avec ses pensées et ses souvenirs. L’homme prit grand soin de ne pas s’approcher de là où se tenait la maison où il avait vécu avec son ancien compagnon et, bien vite, tomba nez à nez avec quelque chose qui n’avait jamais été là - et qui, du point de vue du fae, n’avait rien à faire là. “... foutu labyrinthe.” Il était au courant, bien sûr. Il avait écrit un article bien senti dans la gazette de la ville mais naturellement, le labyrinthe était là. Un instant il hésita, voulu faire demi-tour mais …

La sensation revint pleine balle, d’un coup. On l'appelait. Qui, où, il ne savait pas exactement. Il savait par contre ce dont à quoi cette impression était due. Ils n’étaient donc pas seulement deux embarqués dans cette affaire. Allons bon ! A ce rythme, il n’allait pouvoir être seul nul part. Avec un soupir à fendre l’âme, Auster se jeta dans le labyrinthe. Il verrait bien qui il y trouverait.

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Ô tristesse,
Ô désespoir
©crack in time
Brandon Rose
Brandon Rose


diary : Au coeur du labyrinthe [Brandon & Auster] 393dcba44e81b216b24ed5ba80d883cc
pseudo : rizwans, elle.
credits : tveit — kidd (av), cs (self, sacreddonkey, recsbylotte), img pr (catbishonen).
fae house : 3/4 comet.
disposition : unstable telekinesis. it's getting worse.
love life : in a relationship w/ the love of his life.
warnings : classisme, blessures, relations familiales conflictuelles, mention de tca (passés).
rp : 800/1000+ mots, 1rp toutes les 2/3 semaines (jamais plus vite, sauf miracle).
Bright
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[sent to: skylar, 6:16pm]
where the hell are you???

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hello?

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SKYLAR

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i can't believe this

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great. that's just great.

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Planté au milieu d’une allée, le visage seulement éclairé par l’écran de son téléphone, Bran contemplait la fragilité de l’existence, ici symbolisée par le pourcentage de batterie de son smartphone qui s’amenuisait de seconde en seconde. Il l’avait dit et redit à Skylar, il ne voulait pas mettre un orteil dans cette forêt de malheur et encore moins dans un fichu labyrinthe. Mais non, il avait fallu qu’elle le convainque à grands renforts de battements de cils, de chantage émotionnel, de promesses (vides, il le réalisait à présent) et de suppliques. Où était Skylar, à présent, mmh ? Où était-elle alors qu’il vivait un véritable cauchemar éveillé, seul, au beau milieu de ce fichu dédale ? Un frisson d’horreur parcourut soudain la colonne vertébrale de Bran et s’enroula autour de lui, glacé et implacable. Était-elle seulement en vie, ou avait-elle été aspirée par l’une des haies du labyrinthe qui semblaient d’ailleurs surgir de nulle part ? À moins qu’elle ne l’ait tout simplement abandonné pour sauver sa propre peau, offrant Bran à la déité locale. Oh, great. Il avait suffisamment souffert de la passion de Sky pour les films d’horreur semi-professionnels pour savoir comment cette histoire se terminait, et il était hors de question qu’il termine découpé en petits morceaux et affublé d’un crâne de cerf. No, thank you. Brandon Rose avait encore trop à offrir au monde pour terminer à la page faits divers, et encore moins celle de la Dupree Gazette. S’il fallait vraiment qu’il trouve une fin tragique, il méritait au moins le New York Times et un segment sur CNN.
Toutefois, son objectif immédiat était d’éviter de trépasser dans les trente prochaines minutes, ne serait-ce que pour avoir le plaisir de fondre sur Skylar Beauchamp toutes griffes dehors, et Bran rangea son téléphone (désormais une inutile coque vide) dans la poche de son blouson. Il regarda autour de lui et constata qu’il n’y avait qu’une seule direction à prendre, celle qui disparaissait devant lui dans la pénombre — mais n’était-il pas arriver par là, justement ? Get it together. S’il avait passé (survécu, même) les dix-huit dernières années à New York, il pouvait certainement triompher de ce méandre botanique, non ?
Tendu comme un arc, Bran mit un pied devant l’autre et avança le long de l’allée, sa main effleurant machinalement la haie. C’était ridicule, il le savait. Mais il y avait quelque chose dans la forêt de Sherdale, une sensation lointaine, vaguement familière, qui le suivait, comme si l’ombre d’un mauvais rêve s’était accrochée à l’une de ses chevilles pour le faire trébucher, emmêler ses pas. Pourquoi avait-il l’impression d’être venu ici, il y a longtemps, si longtemps qu’il ne pouvait même pas en être sûr, pas ici dans ce labyrinthe, mais ici, sous ces arbres aux contours flous ?
Un bruissement le fit sursauter et Bran se retourna si vite que la tête lui tourna pendant quelques secondes. Une silhouette se découpa dans son champ de vision et il bondit en arrière, prêt à mordre. « Jesus fucking Christ. » s’exclama-t-il, le coeur cognant si fort contre sa cage thoracique qu’il aurait pu s’en échapper à tout moment. Get it together! En reculant d’un pas, Bran réalisa que le spectre lui promettant une mort certaine n’était en fait qu’un homme (évidemment, bien sûr, quoi d’autre ?). Un homme en chair et en os, ce qui signifiait qu’il n’avait pas encore quitté le royaume des vivants et que le sauvetage était imminent. « Enfin. » soupira Bran en levant les yeux au ciel, puis détailla l’inconnu qui lui faisait face d’un regard à la précision chirurgicale (veste acceptable, pantalon à revoir, chaussures so last season mais il ferait avec) et s’avança d’un pas décidé vers ce sauveur mal sapé mais dont il se contenterait. Qu’importe, pour s’échapper de ce foutu labyrinthe, il était prêt à faire certains sacrifices. « Vous savez comme on sort d’ici ? » s’enquit Bran avec toute l’amabilité dont il était capable à cet instant (c’est-à-dire aucune). Il avait froid, son portable n’avait plus de batterie et pour une raison qu’il ignorait, mais qui le travaillait au corps depuis qu’il avait pénétré dans l’enchevêtrement de buissons et de haies, il avait la sensation d’avoir pénétré là où il ne le devait pas. Get me out of here.

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a force from above, cleaning my soul, flame on burn desire, love with tongues of fire.


en pr chaotique et désordonnée jusque fin décembre, thanks for understanding. <3
Auster Leroy
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BRANDON and AUSTER
@Brandon Rose

Auster n’était de toute évidence pas fait pour les labyrinthes. Incapable de savoir combien de fois il avait tourné à gauche ou à droite, incapable de savoir par où sortir de là ni quoi faire maintenant qu’il était piégé au coeur de l’endroit, le journaliste soupira profondément. La seule chose qu’il pouvait faire, c’était de suivre son instinct. Ce dernier semblait être plus doué qu’Auster pour se repérer : plus l’homme progressait, plus la sensation se faisait puissante et profonde, comme si le tourni s’emparait doucement mais surement de lui. Comment est-ce que cela pouvait bien fonctionner, se demanda-t-il pour la seconde fois en bien peu de temps ?! Auster n’en savait rien mais il ne put s’empêcher d’y songer une nouvelle fois - jusqu’à être coupé tout net dans ses réflexions par une voix qui le poussa à lever les yeux.

Comme c’était le cas lorsqu’il avait rencontré Stella, Auster compris tout de suite ce dont il s’agissait. Est-ce que, pensa-t-il un instant alors qu’il dévisageait avec curiosité son nouveau compagnon d’armes, les clusters pouvaient s’élargir encore et encore ? Jusqu’à combien pouvaient-ils être ? Est-ce que le petit groupe allait accueillir d’autres membres encore ? Auster n’avait pas creusé la question plus que cela - un comble pour le journaliste ! Mais il avait décidé de découvrir cette expérience par lui-même. Pour l’heure, constata-t-il alors que son sourire s’élargissait face à l’impatience galopante de son interlocuteur, il lui semblait évident que chacun ne ressentait pas les effets du cluster de la même façon. Si un seul regard avec Stella avait suffit, il apparaissait que l’homme qui lui faisait face ne saisissait pas ce qui se passait - ce qui les unissait, même s’il semblait étrange de décrire les choses de cette façon alors qu’ils n’étaient encore que des inconnus l’un pour l’autre. Qu’à cela ne tienne ! “Absolument pas !” Mais Auster n’était pas pressé, alors il se contenta d’adresser un sourire tranquille à l’homme. Un jour il lui arriverait des bricoles à être aussi calme ! Mais pour l’heure, il ne s’en préoccupa pas. “Mon instinct ne m’a conduit que jusqu’à vous et je dois bien admettre que je serai bien incapable de vous donner la direction que j’ai pris au dernier tournant !” Pas affolé pour un sous, l’homme haussa les épaules. “Ca n’est pas bien grave. Les choses finissent toujours par paraître plus claires avec un petit peu de temps.” Comme cette affaire de cluster, par exemple.

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Un frisson naquit sur sa nuque, se déroula contre sa colonne vertébrale et Bran prit une grande inspiration. Il n’aimait pas ce qui se passait ici, le brouillard froid et humide qui se condensait au contact de sa peau, les formes fantomatiques des haies, le silence soudain, presque assourdissant, tangible et cotonneux. Et puis il y avait ce noeud dans son vente, une sorte de crochet qui l’attrapait par le nombril, semblait l’entraîner sous terre…
Get it together, Bran.
L’arrivée inespérée de cet inconnu signifiait forcément qu’il allait s’en sortir, n’est-ce pas ? Comme s’il avait lu dans ses pensées, le nouvel arrivant répondit pour lui. Absolument pas !
Stay calm, Bran. Rester calme, faire face à l’adversité, établir un plan, et surtout, se rappeler que rien dan cette vie ni dans l’autre ne lui résistait. S’il voulait un jour revoir sa précieuse collection de chaussures italiennes, il devait mettre de côté la répulsion instinctive que lui inspirait l’idée de mettre son destin entre les mains d’un autre être humain et garder la tête froide. Il n’avait pas le choix : faire équipe avec l’hurluberlu de service, qui affichait un sourire béat et ne semblait pas se soucier de la situation de vie ou de mort dans laquelle ils se trouvaient. « Votre instinct ? » Bran haussa un sourcil particulièrement dubitatif qui signifiait je-vous-conseille-de-revoir-vos-choix-de-mots-immédiatement. Mais visiblement, ce dernier semblait parfaitement en paix avec la situation, acceptant la gravité de leur prédicament avec la sérénité d’un maître zen. Les choses finissent toujours par paraître plus claires avec un petit peu de temps. Bran considéra l’inconnu d’un regard vide, puis se prit le visage entre les mains et massa fermement ses tempes. Seigneur. Il avait vraiment fallu qu’il tombe sur l’optimiste de service. Ne voyait-il donc pas qu’ils étaient à l’article de la mort ? « Wow. D’autres citations inspirantes en stock ? » Bran releva un regard meurtrier vers le malheureux. Il n’avait pas la patience d’enrober ses commentaires sous une jolie couche de sucre, pas quand il avait l’impression que la forêt refermait ses griffes autour d’eux, que des visages se mouvaient sur les troncs, que les haies semblaient se resserrer sur eux. Il ne pouvait pas l’expliquer, mais cette sensation était familière et lointaine à la fois, un souvenir de souvenir, une esquisse fugace qui disparaissait aussitôt qu’il cherchait à l’attraper. Sherdale Forest… Quand avait-il mis les pieds ici pour la dernière fois ? Même lorsqu’il passait ses vacances à Dupree, il y avait une éternité de ça, il passait le plus clair de son temps au bord de la piscine ou au lac, trop occupé à dorer au soleil, sa main refermée autour de celle d’un jeune garagiste. Alors pourquoi cette impression de reconnaître les silhouettes noueuses qui tranchaient la brume, l’odeur de la terre humide ? Un regard à l’inconnu lui apprit que ce dernier ne semblait visiblement pas partager sa crise existentielle et Bran leva les yeux au ciel. « Ok, loin de moi l’idée de me montrer désagréable, mais à moins que ce brouillard ne se dissipe, les choses ne vont pas devenir plus claires. » Sans attendre, Bran lui tourna le dos, s’approcha d’une haie et leva le nez.  Peut-être que s’ils s’y mettaient à deux, ils pourraient l’escalader et ainsi repérer la sortie du labyrinthe… Avisant un banc en pierre dévoré par le lierre, Bran se hissa dessus et commença à tâter le terrain. La haie était ferme et dense, rugueuse, presque escarpée sous ses doigts, mais tiendrait-elle sous son poids ? Il ne pouvait pas s’avouer vaincu si vite - en fait, il ne pouvait pas s’avouer vaincu tout court. Ce n’était pas dans l’ordre naturel de la vie de Brandon Rose ! « Si vous avez une meilleure idée pour nous sortir de là, n’hésitez surtout pas à contribuer à la conversation. » maugréa Bran sans se retourner, les mains à moitié enfoncées dans le buisson, perdu dans ses pensées.
Tellement perdu, en fait, dans ses pensées qu’il n’avait pas réalisé qu’il n’avait, en fait, pas ouvert la bouche une seule fois de toute cette conversation.
S'adressant ainsi à l'inconnu par la pensée.

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BRANDON and AUSTER
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Deux mots de son interlocuteur suffirent à Auster pour se figer tout net. Les paroles du jeune homme avaient résonné dans son esprit, comme si l’autre s’adressait à lui par le simple pouvoir de la pensée. Naturellement, il avait à faire à une fae - il le savait, il devinait déjà que l’autre faisait partie de son cluster ! - et ce genre de choses était probable dans le monde féerique. Mais tout de même ! Jamais personne ne s’était adressé à Auster de cette façon, et la fae s’immobilisa. Il ne remarqua ni le ton moqueur, à la limite de l’agressivité, ni le regard noir, ni rien d’autre que ceci : ce type s’adressait à lui par la pensée et, bien vite, Auster eut la sensation d’avoir besoin de s’assoir, au moins le temps que ses jambes cessent de trembler.

Il avisa le banc en même temps que l’autre fae, mais il s’avéra vite que les deux hommes n’avaient pas la même chose en tête - à tel point qu’Auster en vint à se demander si son interlocuteur se rendait compte de la situation. Sa posture, en tout cas, debout sur le banc, les mains enfoncées dans la haie, eut au moins le mérite de faire revenir Auster à la réalité. AH. Oui. Le labyrinthe et leur chemin à retrouver. Auster soupira, secoua la tête. Bon. Chaque chose en son temps. “... Pardon. Je … non, je n’ai pas de meilleure idée. Vous voyez quelque chose ? Je n’ai pas l’impression d’avoir beaucoup marché, on ne doit pas être bien loin de la haie qui donne sur l’extérieur …” Mais ce labyrinthe, comme tous les autres d’ailleurs, pouvait leur réserver bien des surprises. Pour l’heure, Auster préférait ne pas y songer - il le faudrait pourtant très certainement car, depuis quelque temps, les surprises faisaient parties de son quotidien. Entre le retour de @Jasper Morales dans sa vie, quoique de loin, et l’arrivée fracassante et oh combien bénéfique de @Stella Kahnwald dans sa vie, Auster avait parfois l’impression de ne plus savoir où donner de la tête. Une nouvelle fois, il se secoua. Rester focus. Auster n’avait toutefois pas de trucs et astuces pour s’en sortir seul au fond des bois - encore moins seuls au fond d’un labyrinthe - et il se contenta de hausser les épaules avant de mettre les deux pieds dans le plat. “Et sinon, est-ce que vous vous adressez toujours aux gens par la pensée ? Je dois vous avertir, c’est tout à fait surprenant pour la plupart des gens. Nous n’avons pas fait connaissance, au fait. Auster Leroy. Je n’sais pas comment sortir du labyrinthe, mais je sais que l’orée de la forêt se trouve à l’est, par rapport à l’entrée du labyrinthe. Si vous voyez le bord du labyrinthe, nous pourrons peut-être en tirer quelque chose.

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