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Kendall Lynch
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tw y'a des abeilles sur la photo du costume de kendall, j'le précise au cas où.

It’s the most spooktacular time of the year! La phrase atteint des sommets en matière de corniness, mais c’est le cadet des soucis de Kendall tandis qu’elle chante (ou qu’elle massacre, c’est au choix) la version halloweenesque de l’air bien connu pour la énième fois de la journée. À en juger par les coups répétés dans le mur qu’elle partage avec saon voisin de chambre, ses talents de chanteuse ne sont pas du tout appréciés et encore, c’est une façon diplomate de présenter la chose. Même @Angel Lynch et Dillon se sont mystérieusement éclipsé·es tout à l’heure, laissant leur adelphe seule dans la minuscule pièce qui leur sert de maison depuis quelques mois déjà.
La principale concernée n’aurait jamais cru que leur séjour dans ce coin paumé durerait aussi longtemps, mais comme d’habitude, la sagesse de l’aîné·e a triomphé de l'impatience de la benjamine à explorer une autre partie du pays. Elle suppose que Dillon n’a pas tort, iels feraient mieux de faire profil bas, comme prévu, et de profiter de leurs dispositions tant qu’iels le peuvent. Encore qu’iels ne puissent pas s’en servir à volonté, comme le lui a rappelé @Greyson Wood il n’y a pas si longtemps. Vraiment, ce serait plus simple si la petite ville de Dupree n’était réservée qu’aux faes et leurs potentiel·les allié·es humain·es, si tant est qu’iels existent. Un lieu où les êtres comme Angel, Dillon et elle n’auraient pas à cacher qui iels sont jour et nuit et nuit et jour.

Avec une grimace, la fae de l’aurore s’étire le cou pour avoir un aperçu global de son costume, construit à partir de vieux vêtements et divers accessoires dénichés à la friperie locale. Une fois satisfaite du résultat (du peu qu’elle en a vu, merci les miroirs d’une grandeur et d’une qualité plus que douteuses du motel), Candyman, ou peut-être devrait-on dire Candywoman en l’occurrence, met le cap vers la fête à ne surtout pas manquer si on en croit les affiches placardées ici et là à travers toute la ville. En chemin, elle croise quelques sorcier·ères, démon·nes et goblins et ne peut s’empêcher de sourire à l’idée de découvrir les autres costumes, de s’empiffrer de bonbons et de danser jusqu’aux petites heures du matin. Si elle ne connaissait pas les lieux, il lui aurait suffi de suivre la petite foule qui converge vers le Seahorse, enrobé pour l’occasion de lumières vertes et oranges et d’où s’élève une musique endiablée.
Bientôt, elle se perd parmi les citrouilles rieuses, les araignées en plastique, les fantômes suspendus au plafond et bien sûr les costumes colorés et cauchemardesques. Le temps semble s’écouler à la fois très lentement et très rapidement tandis qu’elle se trémousse, une bloody mary syringe à la main, aux côtés d’un Michael Myers, d’un vampire et d’une infirmière zombie. Au fil des chansons (et de la sueur sur son visage et dans son dos), elle perd ses nouvelleaux ami·es dans la foule de plus en plus compacte et se retrouve contre toute attente devant une silhouette agenouillée sur le sol à rechercher ou observer… elle ne sait trop quoi. La scène est assez saugrenue pour qu’elle s’arrête un moment, la tête penchée d’incompréhension. Elle finit par s’approcher de la silhouette et à s’époumoner par-dessus la musique qui joue à tue-tête : — Mais qu’est-ce que tu fais? Non pas que ça la regarde. Elle est juste curieuse. Trop, peut-être.

hs c'est un sujet libre, qu'on peut jumeler au writing prompt n°4 si vous voulez. et ofc je peux modifier la façon que kendall aborde votre personnage, j'avoue que l'inspiration m'a un peu fait défaut mdr. pumpkin

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Nash Van Amstel
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tw : consommation de drogue

Ersevin ne lui avait jamais fait de description précise de Dupree mais Nash était parti du principe, en bon New Yorkais qu’il était, que ce devait être un trou paumé, trois quatre maisons accolées, cernées de champs, une ou deux fermes dans le lointain, tel un hameau du siècle dernier, Steinbeck style — le genre qui expliquerait que la Fae de la Comète n’y ait pas remis les pieds depuis un bail, en somme. Le jeune Van Amstel avait donc été surpris de découvrir une petit ville effervescente, agitée par les festivités automnales, s’accrochant désespérément à sa palette de couleurs chaudes, orange citrouille, brun rouille, jaune feu de cheminée, rouge pull en laine, comme pour repousser la brume inquiétante qui hantait la forêt alentour (qu’il avait hâte d’aller voir de plus près, d’ailleurs). La logique instinctive aurait sans doute été qu’il détale à l’autre bout du pays, qu’il se noie dans la foule de touristes en Californie, le plus loin possible de New York, mais Nash avait décidé de rester sur la côte est, de se terrer dans une ville dont il n’avait entendu parler que par la bouche d’@Ersevin Sozen et qui avait donc éveillé sa curiosité. Qui irait le chercher là-bas ? The closer we are to danger, the farter we are from harm. It’s the last thing he’ll expect. Sans doute se lasserait-il rapidement de la taille de son refuge mais en attendant, il comptait bien en profiter pour s’immerger dans la foule, visiteur anonyme, et quelle meilleure occasion de le faire qu’une soirée Halloween organisée par le Seahorse ?
Son choix s’était porté sur un costume comportant un masque, une tunique rouge sang de boeuf, dont la capuche était rabattue sur sa tête. Le masque bestial était toutefois bien plus lourd et étouffant qu’anticipé et cela faisait une demi-heure que le jeune homme le portait sous son bras, les yeux injectés de sang et cernés de noir charbonneux. Le monstre du Village était dès lors bien moins inquiétant mais tant pis. Les silhouettes qui évoluaient autour de lui commençaient à se mouvoir étrangement, leurs contours plus flous, leurs gestes plus lents ou saccadés. Les champignons faisaient leur effet, comme le constata Nash, et il se demanda si le fait qu’ils aient poussé près d’une source féérique allait accentuer l’expérience. I’d have to ask Ersevin, songea-t-il, un sourire absent écornant ses lèvres. Il n’avait aucune preuve qu’il avait acheté ces champignons à des Faes de l’Aurore mais il ne pouvait pas certifier le contraire non plus. I’m in fucking Dupree, after all, s’extasia-t-il, anything is possible.
Nash se tenait immobile depuis trop longtemps, quelqu’un le bouscula en voulant se faufiler jusqu’au comptoir et il lâcha le sachet qu’il tripotait distraitement depuis deux minutes.
— Merde.
Le jeune homme cligna des paupières, comme si cela allait lui éclaircir l’esprit et la vue, guettant le reflet plastifié au milieu de la forêt de jambes et la nuée de pieds, mais sa vue trouble ne parvenait pas à se focaliser et il s’agenouilla, posant la tête de sanglier à côté de lui et tâtonnant le parquet autour de lui. Malgré ses réflexes altérés, il ne se fit pas marcher sur les doigts et poursuivit sa quête aveugle jusqu’à ce qu’une voix perce la brume de son esprit.
— J’ai perdu mes champignons, répondit-il en relevant la tête, un oeil fermé, l’autre entrouvert pour discerner l’inconnue . Cool, le costume. Je peux toucher ?
Il n’avait pas fait mine de se lever, assis sur ses talons, l’index pointé vers @Kendall Lynch comme E.T. qui cherchait à appeler chez lui. D’ailleurs, son doigt n’émettait-il pas une légère lueur ? s’interrogea-t-il soudain en fixant l’extrémité de celui-ci. Wow, these mushrooms are great.
Incapable de se fixer sur une idée en particulier, il eut un sourire gondolé, laissa retomber sa main et reporta son attention sur Candywoman.
— T’es clairement la plus cool du lot ! Ça te dit d’aller tenter ta chance au bar ? La récompense, c’est des shots gratuits.
Cherchait-il maintenant à gratter de l’alcool gratuit auprès d’une inconnue ?
Parfaitement.
Et il ne pouvait même pas blâmer sa consommation de drogue, c’était juste du Nash Van Amstel tout craché.
Kendall Lynch
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tw consummation de drogues.

À en juger par la voix et le visage de @Nash Van Amstel il n’a pas égaré l’entièreté de sa récolte de champignons, that much is clear. Un sourire en coin joue sur les lèvres de Kendall tandis qu’elle l’observe de haut en bas, puis de bas en haut, lentement, non sans une certaine dérision au fond des prunelles. À quel point doit-il être maladroit pour que ça lui soit arrivé? C’est un vrai miracle que la tête de monstre qu’il trimballe sous son bras ne lui a pas encore échappé des mains, quoique c’est peut-être une question de minutes, voire de secondes. Elle ne peut s’empêcher de se demander si le pauvre regrette son choix de costume maintenant qu’il a à le porter toute la soirée.En comparaison, elle n’a eu qu’à se coller quelques abeilles en papier mâché sur le visage. Un DIY tout simple mais qui fait son effet et l’inconnu a l’air de le penser aussi à en croire le compliment qu’il lui adresse, un sourire idiot placardé sur le visage et l’index levé dans les airs.

— Non, pas si tu veux garder ta main. À fond dans son personnage, elle agite le crochet en plastique qui lui sert de main en direction de E.T., en espérant que l’autre entre dans son jeu. Quand on y pense, un combat entre le vrai Candyman et le vrai monstre du Village, deux personnages d’horreur dont on entend trop peu parler, ce serait épique. Kendall penche plus du côté de la victoire de Candyman, mais bon, on ne peut pas dire qu’elle soit totalement impartiale sur la question. Un éclat de rire la secoue. — Pourquoi j’ai l’impression que t’as déjà tenté ta chance, mais que les gens ont trouvé ton costume trop nul et maintenant t’es prêt à aborder n’importe qui pour les avoir, tes fameux shots? Déso, c’est pas très gentil, mais si tu portais ton masque, ce serait déjà mieux. Sa voix se transforme en un marmonnement pensif : — Quoique, on doit rien voir avec ça sur la tête et pour chercher, ça doit pas être l’idéal. Elle lui jette un sourire crispé, entre la moquerie et la pitié.

La proposition du jeune homme en tête, elle jette un œil au bar où se presse une petite foule en attente de leur commande. Elle revient à sa nouvelle connaissance et secoue la tête. — Tu sais quoi? Oublie les shots, ça va prendre mille ans avant de se faire servir. Je te propose plutôt de t’aider à chercher ta came et pour me remercier, on se partage ce qui reste dans le sac. Deal? Elle lui tend la main. — Appelle-moi Candywoman. Et toi, je t’appelle comment? Le Monstre? Le… euh, Villageois? Maintenant qu’elle y réfléchit, elle ne se souvient pas si le film mentionne le nom des créatures qui rôdent la nuit dans le petit village paumé. Mais peu importe, ça l’amuse de faire équipe avec ce type sorti de nulle part sans rien connaître de lui, pas même son vrai nom. Comme une sorte de sidequest enclenchée au beau milieu d’une partie. — T'étais où quand t'as perdu ton sachet? Vaut mieux commencer par là. Dans l'état où il est, possible qu'il soit passé à côté sans le voir.

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@Kendall Lynch

Un sourire méprisant serait sûrement venu tordre les lèvres du père de Nash s’il avait vu son héritier à l’oeuvre. L’homme d’affaires n’avait jamais cherché à dissimuler la honte qu’il éprouvait à voir son fils unique se donner en spectacle, se ridiculiser dans le seul espoir d’attirer l’attention ou se faire des amis. Il le trouvait maladroit, encombrant, gênant, trop voyant, trop bruyant. Il aurait voulu qu’il soit posé, mesuré, sérieux. Il lui arrivait même de regretter l’époque où son gamin n’ouvrait pas la bouche, terrifié à l’idée de bégayer, préférant l’idée qu’il passe pour un demeuré que pour un jeune homme instable, inconstant — incontrôlable. Mais c’était là la magie de Dupree, non ? songea Nash, au milieu de la brume qui planait dans son esprit, il était loin du regard désapprobateur de son père, loin de ses remarques blessantes, il avait rejoint les douces contrées de la liberté et il comptait bien s’y perdre aussi longtemps que cela lui serait permis. Il se désolait simplement qu’Ersevin ne se soit pas précipité à sa rencontre lorsqu’il lui avait envoyé l’indice — il avait vraiment cru que la Fae de la Comète le rejoindrait lorsqu’il saurait où il se trouvait.
You’re such a fool, lui souffla la voix mielleuse de son père et Nash la chassa, refusant d’accorder le moindre crédit à cette ombre qui le suivait partout, où qu’il aille, quoi qu’il fasse, et ce fut tout aussi bien qu’il tombe sur la demoiselle, car sa présence soudaine évinça instantanément les manifestations inconscientes d’un mal profondément enfoui que Nash fuyait depuis l’enfance.
— Pas si tu veux garder ta main.
La réplique fit glousser le fugitif au cerveau retourné et il n’insista pas, préférant gratter l’amitié, fidèle à cette attitude sans filtre qui agaçait tant son vieux. Nash n’avait jamais aimé les faux semblants, les manigances, il agissait à l’instinct, quitte à se prendre des râteaux — il avait l’habitude, avec Ersevin —, à provoquer des haussements des sourcils perplexes ou des échanges de regards circonspects. Il détestait les mensonges, les mots qui cachaient leur sens véritable. Les gens qui faisaient des courbettes devant son père, qui s’aplatissaient, le débectaient. Il rêvait d’authenticité, de naturel, de savoir où il mettait les pieds, de pouvoir se fier à quelqu’un sans devoir constamment jeter un oeil par-dessus son épaule pour être certain de ne pas être poignardé dans le dos. Était-il simplement naïf ou son père avait-il raison ? Vivait-il hors de la réalité du monde, incapable de s’y insérer ?
— Aïe, mais c’est qu’elle pique, la Queen Bee, rétorqua-t-il lorsqu’elle critiqua son costume. J’ai essayé, c’est trop lourd et on étouffe là-dedans. Et puis, vas-y pour boire avec ce truc sur la tête.
Nash se releva péniblement, abandonnant l’idée de retrouver ses champignons, acceptant celle qu’il devrait s’en acheter d’autres, et il cala le masque sous son coude, dévisageant son interlocutrice sous un nouvel angle.
— Tu sais quoi ? Oublie les shots.
Le visage du jeune Van Amstel se décomposa, ses épaules retombèrent…
— Je te propose plutôt de t’aider à chercher ta came.
… pour se ragaillardir à la suite de la proposition de la jeune femme.
— Dis plutôt que tu n’es pas aussi sûre de gagner les shots, oui ! ne put-il s’empêcher de la taquiner avant d’enchainer, pour éviter de la vexer. Deal.
Il lui serra la main avec enthousiasme et ajouta:
— Tu vas voir, ils sont extras. Je suis persuadé qu’ils sont encore plus magiques que d’habitude.
Si la jeune femme était l’une de ces créatures féériques qui peuplaient les rues de Dupree, peut-être y verrait-elle l’allusion et Nash ponctua sa remarque d’un clin d’oeil appuyé — oui, son père serait décidément décédé sur place de honte s’il l’avait vu à l’oeuvre.
— Tu peux m’appeler l’Humain, ça suffira. Je dois garder mon identité secrète, au cas où des hommes seraient à ma recherche.
Un éclat de rire lui échappa, comme si c’était la plaisanterie la plus drôle du monde et non une crainte réelle qui lui hérissait les poils de la nuque. Le rire s’éteignit tout aussi vite lorsqu’elle lui demanda où il était lorsqu’il avait perdu son sachet et Nash retrouva son sérieux, à défaut de sa concentration.
— J’étais… ici, dit-il, les sourcils froncés, en balayant du regard les alentours, réalisant qu’il avait presque oublié la foule qui piétinait autour de l’inconnue et lui. À moins que… peut-être par là…
Il désigna un mètre plus loin, mais comment était-il censé savoir ? Le mètre carré où iels se trouvaient était exactement pareil que celui d’à côté.
— Y a trop de monde, il fait trop sombre, geignit-il, dépité. On ne va jamais les retrouver à moins d’avoir des super sens…
À ces mots, il fixa son attention sur la jeune femme, la sondant, guettant une réaction quelconque à sa suggestion.
Are you one of them ? semblaient demander ses yeux.
À moins qu’il ait simplement eu l’air aussi déglingué qu’il l’était en réalité.

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