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see how deep the bullet lies ※ harper & emerson

Harper Harrington
Harper Harrington


diary :
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fichechronoliens

※ harper parle en #08935f

we were supposed to be best friends
see how deep the bullet lies ※ harper & emerson Icip

pseudo : valhdia/valh, elle
credits : sadie soverall ※ (avatar) clyde, (aes) self
fae house : maison de la lune
disposition : souvenirs factices glissés sous les paupières des autres
love life : lewis, comme un souvenir réincarné dont elle sait à peine quoi penser
warnings : tabagisme, dissociation, abandonment issues
rp : longueur variable ※ délai variable (selon l'inspi & l'IRL) ※ 3e personne du singulier ※ narration fr, dialogues fr/eng selon l'envie
Fée
Love, trust and pixie dust !
Fait vivre un pré-lien
Serial topic poster !
Badge Fall 2023
Verseau
cluster member
Du Crépuscule
Statut compliqué
Loup solitaire
oiseau de nuit
Tire les cartes
Troublemaker
Life of the party
Accro aux réseaux
Follow for follow ?
Coffee Nation
Plant Lover
1 mois de love !
Trainer (Scrabble Master)

   


see how deep the bullet lies

harper & emerson

fin février 2018

« Fuck ! »
Elle cogne violemment sur le tableau de bord de sa caisse. Ça lui fait mal mais c’est tant pis ; au moins, ça lui fait quelque chose. Depuis qu’il est parti, elle a l’impression d’avoir glissé dans un paradis artificiel où les nuages viennent l’étrangler dès qu’elle ouvre les yeux le matin.
Au départ, c’était juste un malaise à l’arrière du crâne. Une sensation de manque, de pair avec une certitude : il allait revenir. Il allait revenir parce que c’était la seule possibilité, qu’il avait pas pu les laisser comme ça sans le moindre mot, la moindre note, la moindre explication à tout ça. Il était juste parti prendre l’air, ça arrivait à tout le monde. Il avait besoin d’espace, ça lui prenait parfois, il coupait son portable pendant quelque jours, puis il revenait. Il finissait toujours par revenir.
Et puis, à force de guetter une explication, Harper s’était mise à la trouver partout. Dans les silences de ses parents, dans l’orientation très précise de sa tasse de café sur son bureau. La chambre de Lewis était devenue une scène de crime dont elle analysait le moindre détail, convaincue qu’il avait laissé derrière lui un jeu de piste qui la mènerait à le retrouver. De peur de manquer un signe, quelque chose, elle n’avait touché à rien, laissé les vêtements parfaitement pliés sur l’étagère, les livres entassés sur le rebord de la fenêtre et la couette, en boule, sur le lit défait.
Un mois et demi après son départ, quelqu’un avait changé les draps. Harper avait piqué une crise, elle avait erré dans la maison qu’ils arpentaient jadis à deux à la recherche du coupable. Elle avait fini par sangloter, la tête dans l’oreiller à nu, persuadée que sa longue chasse au trésor pouvait être mise en échec par un acte aussi désuet.

Maintenant, elle ne le ressent presque plus.
Certains matins, elle se réveille en sursaut lorsqu’elle réalise qu’elle ne sait plus précisément la sonorité de sa voix. Les yeux happés par la lumière bleue de son téléphone, elle écoute leurs messages vocaux, fait défiler les photos de leur bonheur maladroit tandis que, déjà, malgré elle, elle a un peu cessé d’y croire.
Les autres se sont lassés, un par un. Au début, ils la suivaient, ils l’accompagnaient, ils l’écoutaient. Ils acceptaient de la regarder remuer ciel et terre en frissonnant sous leurs manteaux, refusant d’être celui qui lui crèverait le cœur en disant tout haut ce que tout le monde pensait tout bas.
Que Lewis ne reviendra pas.

Par amour, par aveuglement, Harper refuse d’y croire. Elle s’y refusera toujours, s’en fait la promesse à elle-même quand elle croise son regard cerné dans la violence de son miroir. Alors, deux fois par semaine, elle continue à quadriller la forêt de Sherdale. Persuadée que, cette fois, ce sera la bonne. Qu’elle trouvera un indice, n’importe quoi, le moindre effluve de l’équilibre qu’il a brisé en s’en allant.
Le seul qui accepte encore de la suivre, c’est Emerson.
C’est lui qui, même sans être aussi proche d’elle, l’a écoutée hurler en silence devant l’automne qui s’achevait. C’est lui qui l’a appelée le jour de son anniversaire, alors que tout le monde la pensait trop fragile pour s’en souvenir. C’est lui qui, petit à petit, est devenu le nouveau pilier quand tous les autres ont déserté.
C’est lui qui, en cet instant précis, doit regarder la jeune femme frapper le volant de sa voiture, encore et encore, parce qu’elle ne supporte plus de rentrer bredouille chez sa mère.
Elle a même plus de mots pour décrire sa hargne, son envie de tout laisser tomber et de poursuivre dans le même temps. Il n’y a que ce fuck qui a franchi ses lèvres et qui traîne désormais entre eux dans l’écho d’une adolescence qu’ils ont regardée s’envoler.
« ’Scuse moi. » elle ajoute, le visage défait. « C’est juste … c’est de la merde, c’est vraiment de la merde, et … j’suis fatiguée. »

Elle passe ses mains sur son visage, comme si ça pouvait éclipser cette peine qui lui tord la poitrine à chaque instant de la journée. Ce n’est pas la faute d’Emerson, si c’est une telle merde entre eux tous. Pire, c’est même le seul qui veut encore bien se résigner à y croire ; s’agirait de pas le dégoûter de faire des battues avec elle.
« Pardon, Em’. Il est tard, et tout … tu veux que je te ramène chez toi ? Sinon, tu peux rester dîner, si t’as envie. Je crois que ma mère est pas là. » Puis, dans un sourire affligé, comme s’il fallait une bonne raison pour qu’un de ses meilleurs amis daigne bien franchir le vieux porche. « Et il m’semble qu’il reste de la tequila. »


codage par smanffson, adapté par valhdia








Emerson Moore
Emerson Moore


pseudo : Olivia
credits : whitehead | smmggallery (avatar), nairobigifs (gifs, sign+profil)
fae house : moon
disposition : healer
love life : tangled up in guilt and nostalgia, lost when it comes to the way he feels about her
rp : entre 600 et 1000+, réponses dans l'ordre d'arrivée, aussi régulières que possibles
1er sujet posté !
Fée
Love, trust and pixie dust !
De la Lune
Taureau
Badge Summer 2022
Merci d'avoir participé au Summer Festival !
one year of ftf
Badge Summer 2023
two beer or not two beer
Badge Fall 2023

   
Il venait de passer la dernière heure à regarder défiler le paysage, les yeux mobiles mais le regard vide, à croire qu’il ne voyait pas réellement ce qui glissait à vive allure, au rythme qu’imposait @Harper Harrington à la voiture. Parfois, un détail accrochait son attention : une silhouette qui ressemblait un peu à Lewis, une couleur qu’il l’avait vu porter, un mouvement furtif qui laissait penser qu’on cherchait à se dérober à leur vue — juste une créature effrayée par le faisceau des phares, partie se réfugier sous le couvert de buissons. Where are you, Lew ? se disait alors Emerson en tournant la tête pour regarder la conductrice. What have you done ? Il voyait Harper s’éteindre peu à peu, au même rythme que l’espoir de voir revenir le disparu. C’était pour elle qu’Emerson acceptait de la suivre dans ces courses effrénées, désespérées, à travers Dupree, parce qu’il ne voulait pas la voir s’effondrer, parce qu’il se blâmait de ne pas mettre autant d’énergie à cette recherche insensée. Parce qu’au fond, même s’il n’osait pas le dire, il doutait lui aussi que son cousin change d’avis. Lewis était parti et pour le retrouver, il aurait fallu se lancer sur ses traces. Mais pour cela, il aurait fallu connaître la direction qu’il avait prise et iels n’avaient aucune idée de celle-ci. One day he was there, gone the next.
Iels auraient pu se lancer dans une folle entreprise : partir quand même, sans but réel, avec la seule énergie de leur amitié pour poursuivre jusqu’à ce qu’iels retrouvent leur pièce manquante. Leurs dispositions ne leur auraient pas été d’une grande utilité mais de toute manière, loin de Cabeswater, qui disait qu’iels auraient pu s’en servir ? Même si l’un·e d’elleux avait été en mesure de localiser le fugitif, l’éloignement de la source n’aurait-il pas tari leur avantage ? Mais à quoi bon s’enfoncer dans telles réflexions, songea Emerson en soupirant, les yeux toujours posés sur Harper, redessinant son profil, quand leur amitié s’était disloquée et qu’iels n’avaient même pas eu le courage d’essayer ? Si même les membres du Cluster de Lewis avaient perdu leur perception du jeune homme, alors qu’on disait ce lien indestructible, quelles chances leur restait-il ?
Son téléphone vibra dans sa poche et Emerson jeta discrètement un oeil au message de Mabel. Are you with Harper ? Il répondit d’un laconique pouce vers le haut et rangea l’appareil avant de reporter son attention sur les ténèbres environnantes.
Il était trop tard pour distinguer quoi que ce soit, ce qui rendait leur ronde complètement absurde mais Emerson s’abstint de tout commentaire, laissant à Harper le temps nécessaire pour en venir à la même conclusion. Il n’aimait pas la voir s’épuiser de la sorte mais ne faisait rien pour l’épargner non plus. Parce qu’il savait comment elle réagirait, parce qu’elle refusait âprement de se résigner, parce qu’il ne parvenait jamais à apaiser sa colère, sa détresse. Il se sentait nul et inutile. Et c’était précisément pour cela qu’il était là, dans cette voiture, avec Harper. Parce qu’il se sentait coupable et impuissant.
— Fuck !
La voiture s’était arrêtée et il ne s’en était même pas rendu compte. Il fixait un point au loin, jouait avec la mollette de son briquet. Le cri de Harper le sortit de sa torpeur, d’un sursaut. Il regarda les mains s’abattre sur le tableau de bord et il aurait voulu l’empêcher de se faire mal, mais cela relevait de la mission impossible et il se contenta de ranger son briquet, en espérant que l’envie de fumer lui passe.
— T’inquiètes pas, répondit-il doucement.
Scream, hit, cry. Il valait mieux que ça sorte, parce qu’il savait d’expérience que réprimer son mal-être ne le faisait en rien disparaître. Il aurait voulu pouvoir user son énergie comme Harper le faisait, à la place, il se retirait de sa propre vie, de son propre couple, s’enfonçait dans le silence. Il regardait les jours défiler comme il regardait Harper à présent, spectateur d’une vie qui lui échappait.
— Non, je n’ai pas envie de rentrer chez moi, confessa-t-il en détachant lentement sa ceinture de sécurité.
S’il rentrait, il se sentirait obligé d’appeler Mabel pour lui faire un compte-rendu de cette escapade, il devrait trouver les mots pour décrire l’état de Harper et il ne s’en sentait pas capable. Il n’était pas foutu d’exprimer ses propres émotions, comment pourrait-il parler de la seule personne avec qui il partageait ce vide incommensurable que Lewis avait laissé dans son sillage ? Harper était la seule à comprendre, la seule à vivre la même douleur. Il n’y avait pas besoin d’appartenir à un Cluster pour sentir ce manque.
— Ah, alors s’il y a de la tequila…, conclut-il, dans une vaine tentative d’apaiser la tension et le chagrin qui régnaient dans l’habitacle de la voiture. Il se pourrait que j’aie de quoi l’accompagner…
Il tapota la poche de sa veste, où se trouvaient les joints et les champignons que certain·es Faes de l’Aurore vendaient illégalement.
Ce n’était pas une bonne idée, Harper et lui noyant leur souffrance dans l’alcool et les substances illicites, mais Emerson se fichait de tout, ce soir. Il voulait juste rendre l’absence de Lewis un peu moins prégnante. Il ne voulait pas laisser Harper seule.
Alors il sortit du véhicule, claqua la portière et attendit son amie, les mains dans les poches, triturant les emballages en plastique, des frissons lui parcourant le corps, un sourire qui sonnait faux sur les lèvres, avant de suivre la jeune femme vers la maison Harrington.
I should have gone home, se dirait-il souvent, par la suite, après avoir commis l’irréparable.
But then, it was too late.

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Harper Harrington
Harper Harrington


diary :
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※ harper parle en #08935f

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see how deep the bullet lies ※ harper & emerson Icip

pseudo : valhdia/valh, elle
credits : sadie soverall ※ (avatar) clyde, (aes) self
fae house : maison de la lune
disposition : souvenirs factices glissés sous les paupières des autres
love life : lewis, comme un souvenir réincarné dont elle sait à peine quoi penser
warnings : tabagisme, dissociation, abandonment issues
rp : longueur variable ※ délai variable (selon l'inspi & l'IRL) ※ 3e personne du singulier ※ narration fr, dialogues fr/eng selon l'envie
Fée
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see how deep the bullet lies

harper & emerson

Pas envie de rentrer chez moi.
Quelque part, ça la soulage de pas avoir à affronter une soirée de plus les fantômes de son propre crâne. La maison lui fout le cafard. Même sa chambre est devenue une sorte de sanctuaire ; elle a tiré de sous son lit les innombrables boites à chaussures qui contenaient des souvenirs d’eux, comme si ça pouvait la sauver.
Sa vie n’est plus vraiment linéaire, elle ressemble à une sorte de patchwork décousu où les scènes s’enchaînent sans lien apparent entre toutes. Harper sait que la porte a claqué, qu’Emerson a parlé de son shit, qu’ils ont défait leurs ceintures de sécurité. Mais impossible de relier ça à ce qu’elle vit maintenant, à fouiller dans les placards de la cuisine tandis qu’Emerson a pris place sur le vieux canapé usé. Peut-être qu’elle vit dans un film, désormais, une sorte de long-métrage indépendant de merde où rien ne finit jamais bien. Ça expliquerait les coupes dans le scénario et cette impression profonde que, plus elle gratte là où ça fait mal, plus la douleur veut s’échapper.
Ses doigts se referment finalement sur la bouteille de tequila à peine entamée et, comme sa mère n’a pas de verres à shot, elle opte finalement pour deux petits verres à moutarde avec des illustrations de pokemons. Lorsqu’elle contourne le comptoir pour se laisser elle aussi tomber sur le canapé, le salon lui semble étrangement vide. Il y a de cela quelques mois, ils auraient été six à projeter leurs arc-en-ciels contre les murs en toile à peindre. Dans le royaume des déserteurs, ils sont les deux seuls survivants et, malgré elle, Harper leur en veut.
Elle en veut à Mabel de faire comme si de rien n’était, d’essayer de l’inviter à des soirées où elle n’a aucune envie d’aller au nom du fameux ‘bon vieux temps’. Elle en veut à Zephyros d’éviter leurs regards et leurs messages comme s’ils étaient des pestiférés provenus d’un autre univers. Elle en veut à Forrest de ne jamais aborder le sujet, de lui couler des regards en coin comme si elle allait se fracasser au sol mais de rien faire pour tenter de l’en empêcher.
Plus que tout, elle en veut à lewis d’être parti.
C’est pas entendable d’être aussi en colère contre quelqu’un qu’on aime autant. Elle persiste à croire qu’il y a une explication, quelque chose. Peut-être qu’il a glissé, qu’il est tombé, qu’il lui est arrivé quelque chose de grave. Tout, plutôt que d’admettre qu’il est parti de son plein gré et qu’il a pas eu la décence de leur laisser même un petit mot. Tout, plutôt que de renoncer et de devoir vivre avec l’idée qu’elle avait construit son empire sur des fondations en poussière qui demandaient qu’un vent trop vif pour s’envoler et la laisser.

Les verres remplis, Harper replie ses jambes, en tailleurs sur le canapé. Son genou frôle celui d’Emerson, dénudé par ce jean noir déchiré aux genoux qu’elle est incapable de jeter. La tequila a un goût amer, ce soir, tandis qu’aucune larme ne coule pour la diluer de son sel. Elle a envie de cracher sa rage auprès du seul qui comprendra, qui saura que si elle le hait c’est bien parce qu’elle l’aime à en crever.
« C’est vraiment un connard. » rompt-elle finalement le silence. L’alcool lui brûle dans la poitrine mais Harper continue de fixer un point vide au-delà de la table basse. Sans doute qu’elle va regretter, à un moment, d’avoir dit tout ce qu’elle va dire. Mais le venin est trop cruel, il faut bien que ça sorte un jour. « Il pouvait pas s’offrir un journal intime, comme tout le monde, non. Fallait qu’il nous laisse à patauger dans la merde. »
Comme elle voudrait que son ton soit plus énervé, que sa voix ne se fêle pas à chaque syllabe quand elle dit ça. Une larme solitaire se fraie un chemin entre ses cils ; elle l’essuie rageusement avant de boire encore deux gorgées.
« Fait chier. » elle grogne.
Ils ont rien à se dire à part ça, rien pour meubler leur propre deuil que la certitude spontanée que l’autre ressent bien la même chose. Leurs sujets de conversations se sont amenuisés à mesure que les yeux d’Emerson se sont creusés et repliés dans leurs tranchées, à mesure que les clopes d’Harper s’accumulaient dans le cendrier comme autant de regrets mort-nés.
Peut-être bien qu’il faut toucher le fond avant de regrimper au sommet.

Alors, peut-être pour confirmer ce dicton, peut-être parce qu’elle a rien de mieux comme sujet de conversation, ou peut-être parce qu’elle veut se faire mal autant que Lewis lui a fait mal pour reprendre un peu de contrôle, elle se tourne vers son cousin.
« J’ai une idée. » Elle lance, ses yeux sombres plantés dans le visage de son ami comme les piolets d’un alpiniste sans aucun nœud pour l’assurer. « Chacun notre tour, on dit un truc sur lui et, si l’autre savait pas, il boit. T’en penses quoi ? »
Ultérieurement, elle pensera que c’était une idée de merde, qu’elle aurait pas dû proposer et qu’il aurait pas dû accepter. Seulement, dans ce moment poisseux où ils s’enlisent à chaque instant, cette idée de merde, c’est tout ce qu’elle a.
Ça, et un peu trop de tequila.


codage par smanffson, adapté par valhdia









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days ache and nights are grey
My heart is still your place : Some scars you can't erase and i Guess i still feel the same. Well, I'll take all the vitriol But not the thought of you moving on, 'Cause I'm not ready To find out you know how to forget me.
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